sábado, 2 de abril de 2016

Une mort vivante



L’éclair de ton sourire se reflet dans mes pupilles
L’arôme doux de ton arrogance ravive mes cils
Ton univers se rencontre avec le mien sous le cri des filles
Illuminant les ombres profondes de tes cheveux gris

Si mon âme me permet d’avoir un instant de paix
Tes rides brilleraient avec mes grains de beauté
Mais la mort touche tes paupières de manière silencieuse
Laissant mon corps dilater l’obscur souvenir d’un passé grandiose

Les roses pâles parlent de ta silhouette froide
Le ciel bleu dessine l’attente de mon cœur
Lorsque ta main frôle la mienne cernée de pétales

L’âge sera seulement un numéro 


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